Nous sommes allés au parc des Buttes Chaumont dans le XIXe arrondissement de Paris. Le parc a été inauguré en 1867 par Napoléon III. Ce parc est de style anglais avec des chemins sinueux qui donnent un aspect romantique et qui invitent à se ressourcer. Tout est artificiel mais d’apparence naturelle grâce au rusticage.
Ce parc a été conçu pour voyager et voir des horizons différents : c’est pourquoi on peut y voir des plantes méditerranéennes comme le thym, l’olivier ou de la lavande. Nous avons fait le tour du parc par le chemin de fer, la cascade, la grotte puis nous avons emprunté le pont suspendu pour arriver sur l’île : depuis le belvédère, nous avons une belle vue sur l’ensemble du parc et sur la basilique du Sacré-Cœur. Nous avons fait le tour de l’île, qui a inspiré de nombreux décors de films et qui rappelle les falaises d’Etretat.
Nous avons vu différentes essences d’arbres ainsi que plusieurs infrastructures comme le pont suspendu et le temple de Sibylle. Nous avons vu un platane commun vieux de plus de 150 ans, de 20 mètres de haut de 5 mètres de circonférence. Ce que nous avons beaucoup apprécié c’est le pont suspendu qui bougeait à notre passage et d’où nous avions une belle vue sur l’ensemble du parc. Nous avons beaucoup aimé le relief du parc et le côté lumineux des arbres : le ginkgo biloba (ou arbre aux 40 écus) donne des feuilles couleur or qui illuminent le parc.
Sortie Conviviale des BTS Production Horticole à la Fête des plantes du château de St Jean de Beauregard : un lieu d’exception
Le vendredi 22 septembre 2017, les classes de BTS productions horticoles première et deuxième année sont allés visiter, en compagnie de Mme Ameline professeur d’agronomie et Mme Foubert professeur de gestion d’entreprise( et coordonnatrice des BTS première année ) les jardins de St Jean de Beauregard pour leur journée de convivialité entre les 2 classes et participer à la fête des plantes d’automne .
Nous avons rencontré de nombreux producteurs exposants, durant cette exposition des plantes , des végétaux rares et nouveaux, tous aussi intéressants les uns que les autres . Le matin, nous avons rencontré M. Saunier, horticulteur détaillant ( HPF) et sa fille Céline ( ancienne BTS promotion 2014)qui travaille aujourd’hui avec lui , sur son stand de plantes fleuries de saison. Ils nous ont présenté leur entreprise et le réseau HPF, les artisans du végétal auquel ils adhèrent . Puis nous avons déambulé entre les étalages fleuris d’espèces et de cultivars exotiques et originaux de ces pépiniéristes et horticulteurs passionnés du règne végétal.
Après un pique- nique dans le verger de haute tige du château, partagé ensemble pour favoriser les échanges avec les nouveaux étudiants de BTS production horticole.
Nous avons visité en compagnie d’un guide le potager à la française recréé par la propriétaire selon d’anciens plans et planté d’anciennes variétés de fruits et légumes . Il est aussi fleuri d’annuelles et de médicinales qui colorent et ponctuent les planches de légumes qui servaient à une certaine époque à nourrir tout le château . Ce potager fleuri « à la française » est classé monument historique et jardin remarquable . Nous avons pu aussi admirer le plus grand pigeonnier de France et l’exposition impressionnante de tomates réalisée par 3 tomatophiles.
Nous avons passé une agréable journée aux contacts de professionnels et de passionnés . Certains en ont même profité pour faire quelques achats de plantes rares et prendre des adresses pour leurs stages.
Action menée dans le cadre du stage collectif territoire et développement durable des terminales Bac Pro Aménagements Paysagers (AP) du Lycée Agricole de Saint Germain en Laye. Quelques jours en immersion dans le territoire du Vexin français en partenariat avec le PNR du Vexin français. Stage au cours duquel on aborde des problématiques liées à l'environnement et concrétisé par la réalisation d'un chantier nature.
Le film est un exemple d'action que l'on mène tous les ans avec les terminales AP.
Jeudi 23 septembre, nous sommes allés à INNOV'AGRI. Lors de cette journée ensoleillée, nous avons pu découvrir de nombreuses innovations et améliorations agricoles. Ce qui a approfondi et renforcé nos connaissances. Tout au long de la journée nous avons vu divers sujets très intéressants. Nous allons donc vous en faire découvrir.
Tout d'abord nous allons vous parler du TuberLog de Martin Lishman puis du nouveau Raptor de Berthoud et pour finir, nous parlerons de l'importance des nichoirs dans les démarches d'agroécologie. TuberLog est un outil très utile, devenant même indispensable aux agriculteurs. Il permet de contrôler de façon constante leur production de pommes de terre.
En effet, TuberLog ressemble, en main, à une pomme de terre, que ce soit par sa taille, sa forme ou encore sa densité. Elle permet de percevoir en direct tous les chocs/impacts qu'ils soient physiques ou climatiques, que la pomme de terre va subir de la récolte jusqu'à la vente en passant par le stockage. Il envoie ces données en temps réel . Cette pomme de terre électronique permet également, d'éviter les meurtrissures et bleuissures . Elle est très pratique car elle possède un système de localisation et permet le travail en Bluetooth, TuberLog permet donc aux agriculteurs d'effectuer de meilleures ventes et d'avoir très peu de pertes.
Comme future innovation, Martin Lishman nous a confié vouloir expérimenter un objet similaire mais, cette fois, pour la pomme à cidre, la betterave ainsi que la carotte.
Les étudiants de BTS Productions Horticoles 1ère année ont pu, du 19 au 20 septembre 2016, découvrir la filière horticole en visitant des entreprises franciliennes représentatives des métiers pour lesquels ils seront, pendant 2 ans, formés.
Ces visites d’immersion professionnelle sont également un temps fort pour les étudiants leurs permettant de se connaitre et démarrer l’année sur de bonnes bases.
La classe de 1ère STAV Production, est allée à l’Espace Rambouillet, le 21 mars 2016. L’objectif de cette sortie était d’effectuer un comptage d’animaux, de visiter l’Odyssée verte et d’observer une présentation de rapaces en vol.
La matinée fut consacrée au comptage des cervidés et des suidés dans la forêt sauvage qui couvre 180Ha.
Munis de baudriers « fluo » et espacés de 20 à 30 mètres, nous avancions doucement en ligne.
Nous devions noter tous les animaux qui passaient sur notre droite, en précisant, si possible leur sexe et leur âge, tâche difficile !
Les animateurs nature nous avaient préalablement expliqués comment les reconnaître et exposés les consignes de sécurité.
Comme résultats, nous avons obtenu globalement : 51 cerfs et biches, 39 chevreuils, 33 daims, 50 sangliers et 40 marcassins.
Après la pause du déjeuner, devant un feu de cheminée, nous sommes allés à l’Odyssée verte, qui est un parcours dans les arbres, composé de 18 plateformes reliées par des ponts suspendus.
Par groupes de 10, accompagnés par un animateur, nous avons découvert des informations sur l’histoire de la forêt et des êtres y vivant.
Ensuite, nous sommes allées assister, dans la forêt des aigles, à la présentation des rapaces en vol.
Après une information sur les consignes de sécurité, des oiseaux nocturnes : hiboux, chouettes, ou diurnes : serpentaires, aigles, vautours…nous ont survolés ou ont simulé des actions de chasse grâce à des leurres.
Nous avons apprécié cette sortie car elle fut très enrichissante et passionnante. Elle nous a permis d’observer de près des animaux sauvages tant au niveau de leur morphologie que de leur comportement.
« Dans le cadre de notre apprentissage de la justice française en EMC (Enseignement Moral et Civique), la classe de Seconde A est partie au tribunal de Versailles suivre un procès d'assises. Cette sortie a duré trois jours, du mercredi 9 mars au vendredi 11 mars, les séances commençaient à 9h60/10h et finissaient vers 17h30. « (Allyson)
«Nous avons pu assister au procès de deux individus pour vols à main armée avec violence survenus en novembre 2012, en décembre 2012 et en janvier 2013 sur les communes du Pecq, de Guyancourt et de Louveciennes. Les vols, commis sur des bars-tabacs, étaient destinés à récupérer de l'argent pour pouvoir assurer leur consommation excessive de drogues et rembourser leurs nombreuses dettes envers leurs fournisseurs. Les deux ravisseurs ont été interpellés à leurs domiciles en juin 2013 après seulement 6 mois d'enquête et emprisonnés deux ans et demi en attente du procès. » (Vincent)
« Le procès auquel nous avons assisté était un procès de première instance, autrement dit, c'était la première fois que l'on jugeait cette affaire. C'est avec l'appel et le tirage au sort des 6 jurés titulaires et de 2 jurés supplémentaires qu'il a commencé. Durant ce tirage au sort, l'avocat général (représentant du ministère public) et les avocats de la défense (représentant les accusés) ont pu en récuser, c'est-à-dire refuser des jurés. Tous les jurés prêtent un serment d'impartialité, c'est-à-dire d'être neutre et objectif. C'est alors que l'audience commence. Le président de la cour présente les faits reprochés aux accusés et les éléments à charge et à décharge les concernant ; il leur énonce aussi leurs droits. Ensuite, le président interroge les accusés sur leur vie et passe ensuite aux auditions des témoins qui peuvent être des proches, des témoins oculaires ou encore des experts tels que des psychiatres ou des enquêteurs de police et enfin les victimes. Ces auditions nous permettent de prendre connaissance et de rassembler tous les faits car nous, comme les jurés, n'avons pas connaissance du dossier et aussi de voir les différentes parties débattre. Après les débats prennent place les plaidoiries pendant lesquelles chaque avocat va défendre oralement sa partie. C'est l'avocat des parties civiles (qui représente les victimes) qui commence, ensuite c'est au tour de l'avocat général, puis l'avocat de la défense et enfin à l'accusé qui a le dernier mot. Pour finir, la cour composée de l'ensemble des jurés, du président et de ses 2 assesseurs doit délibérer. Ils vont alors rester enfermés jusqu'à ce qu'ils prennent une décision à propos de la culpabilité et de la peine si la culpabilité est confirmée pour les accusés. » (Anaïs)
« Après cette sortie, nous avons fait un vote (sans connaître le verdict auquel nous n'étions pas restés) pour savoir si nous serions plus ou moins sévères que les jurés. Toute la classe les a jugé coupables de braquages avec violence, la majorité leur ayant donné une sanction inférieure ou égale à 6 ans de prison tandis que seulement 8 élèves leur ont donné une sanction supérieure dont 3 qui ont donné la même sanction que les jurés, soit 7 ans de prison ferme. » (Samantha)
Réaction d'élèves
« L'immersion dans ce procès était une expérience très intéressante, elle nous apporte une vision précise des rouages de la justice » (Thanys)
« J'ai découvert la manière dont se déroule un procès d'assises, le choix des jurés, leur implication dans celui-ci et qu'être juré est un devoir civique. J'ai apprécié les plaidoiries, les rebondissements et la réactivité des avocats dans leur prise de parole ; cela m'a captivée ». (Marie)
« C'est une superbe occasion de voir le fonctionnement d'un procès que l'on ne peut pas voir si souvent. De plus cela permet de prendre plus conscience des sanctions que l'on encourt » (Manon)
Dessin réalisé par un élève de seconde A
« Quand les familles des accusés sont passées à la barre, j'ai trouvé cela très touchant car les mères des accusés étaient très émues et cela se ressentait dans la salle. C'était une expérience enrichissante et je pense assister à d'autres procès quand je serai adulte. » (Grégoire)